Il y a des jours où j'arrive plus à relativiser, où j'ai tellement dû planifier, calculer, faire face aux imprévus dans une même journée, que je dois, à un moment, prendre du recul.
La journée-type bien pénible à gérer est une combinaison rendez-vous important pour le bureau + grève des transports ( un seul train le matin donc tu ne peux pas emmener la puce à l'école...)+ l'Homme cloué au lit (et qui, par conséquent, ne peut pas emmener la puce à l'école, ni aller la chercher chez la nounou...).
Tu as finalement survécu entre l'organisation grands-parents qui se sont proposés pour le trajet aller pour l'école (mais qui sont arrivés en retard donc tu as couru pour prendre le TER...), l'organisation Nounou qui, adorable, te dit "no stress si tu récupères Mam'zelle Nono un quart d'heure plus tard."
Quand je récupère la puce après cette journée marathon, je suis partante pour:
- le hamburger/frites réclamé par Mam'zelle Nono pour le dîner (on complétera avec des tomates-cerises et du raisin);
- faire l'impasse sur le bain (une toilette au gant fera bien l'affaire pour un soir).
Au final, malgré une journée bien éprouvante, nous avons pu laisser de côté le stress et les contrariétés et passer un bon moment en famille, le jeu préféré de notre fille consistant à faire la maîtresse et l'Homme et moi-même les élèves (dissipés cela va de soi...).
